(promise chose hier...) une note pour dire une énorme chose : aujourd'hui Richard Tuttle me touche infiniment plus qu'Ellsworth Kelly - c'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi...
Expo au Whitney (NY, mi-novembre donc)
Comme de toutes les grandes choses : que dire...
Option 1 je pique les 3 mots-clefs de cet article de ArtNewsOnline Why small is big (article intéressant by the way, je le souligne pour ceux qui ont tendance à ne pas cliquer ;) évidemment du côté du Big Big, il est question de la Spirale Jetty de Smithson, ben oui je tourne autour) qui qualifie l'art de Tuttle de extremely modest, nearly invisible art. Ou encore de celui là, sur CultureVulture : Tuttle's are works of such unpretentious subtlety.
Option 2 je pointe vers l'animation du San Francisco MoMA : what language is this ? is this painting, sculpture or drawing ? what am I looking at ? Does size matter ?... Il faut au moins voir Portrait of Herbert Vogel, 26th line piece (posez votre écran près du sol pour retrouver les conditions réelles d'accrochage ;) ou Ten A.
Option 3 je reprends mes notes, okazou vous ne me liriez pas bien ci-dessous (?!) : painting & sculpture were different before Tuttle generation. il s'agit de repenser les frontières respectives, introduire la forme (shape) dans la peinture et la couleur dans la sculpture, questionner ce qui était la vérité de ce qui constitue chaque art. Inventer un nouveau langage, de visual poetry. Aller to the point near invisibility. Au point limite d'une oeuvre d'art (artwork).
Avec en cadeau bonus une idée de ce qu'est 1st wire rice : un trait au dessin, un fil de fer, une ombre.
j'aime ce mot " OKAZou"
c super beau
le carnet j'adore
une collection de carnet c pas mal aussi non ?oui /non Oui!!!!!
Rédigé par : daniel | 14 décembre 2005 à 17:20
o oui des carnets !!! j'en ai tout plein qui te plairaient bcp : chinois, japonais...ou parisiens pour les derniers en date. on en reparle !!
Rédigé par : helene | 15 décembre 2005 à 20:49