Au 21 de la rue keller (paris 11è), le spécialiste des claquettes : chaussures, fers, DVD, etc. et les cours de Victor Cuno - Et bien le mercredi à 13h00 (avant d'aller au Pause Café, à l'angle de Charonne) on peut entrevoir le cours pour enfants. A partir de 5 ans. Swing garanti (pas nécessairement « easy » though...)
A l’opera de paris, du 6 au 16 février, William Forsythe. L’affiche est belle, les titres au programme sont beaux : approximate sonata, the vertiginous thrill of exactitude (surtout celui là !) et artifact suite. Forsythe écrit, dans Ligne8 : Je fais des séquences. Je travaille par petits morceaux. Je compose avec les danseurs une phrase puis, comme dans le traitement de texte
sur ordinateur, je change des mots, j’insère des fragments, en enlève d’autres. J’assemble simplement des éléments. Pina Bausch parle aussi de quelque chose qui se rapproche du collage pour comproser ses stücke, les biens nommés...
à propos de chorégraphie et de pina bausch : lire l'article dans libé aujourd'hui où Leïla Haddad raconte pourquoi-comment elle s'accroche pour s'imposer comme chorégraphe et pas comme un truc exotique... "«Sert-on des saucisses de Francfort après un spectacle de Pina Bausch ? Pourquoi, après les miens, certains programmateurs se sentent-ils obligés de proposer du thé à la menthe ? Pourquoi s'étonner que je puisse danser dans le silence, alors que des centaines de chorégraphes le font ? On m'a même demandé une fois si la panne de son ne m'avait pas gênée !"
http://www.liberation.fr/page.php?Article=356120
Rédigé par : jo | 02 février 2006 à 21:00
Un très beau spectacle a absolument voir, j'ai mis un petit comment sur blog culturel:
http://www.blogculturel.com/article-1871842.html
Rédigé par : Herwann | 14 février 2006 à 00:35